Sur la Dlle Cleron, dite Frétillon, de la Comédie-Française
Sur la Dlle Cleron, dite Frétillon, de la Comédie-Française
Quelle grâce ! quel feu ! quelle vive peinture !
Cleron, tu réunis dans ton jeu séducteur,
Ce que l’art joint à la nature
Peut former de plus enchanteur.
Cent fois, te voyant sur la scène
Ravir les suffrages divers,
J’ai cru que c’était Melpomène
Qui récitait ses propres vers.
Clairambault, F.Fr.12710, p.368 - Maurepas, F.Fr.12646, p.300