Sur la disgrâce de la Morival
Sur la disgrâce de la Morival
Venez avec tristesse
Brillante jeunesse
Qui tous les jours
Me faisiez la cour
Venez me voir tour à tour
Plaignez mes douleurs
Messieurs les fouteurs
Serez-vous mieux ailleurs
Car quand l’endroit vous déplaisait,
Chez moi vous disiez
Tourne,
Tourne et retourne,
L’envers aussitôt paraissait.
Arsenal 2937, f°180r