Sans titre
Assurément je voudrais bien
Vous peindre le comte d’Ayen1
;
Mais je sens ma faiblesse extrême :
Il faut de plus vives couleurs
Cher comte, peignez-vous vous-même.
Grands dieux, qu’il va dire d’horreurs !
- 1Par M. le comte de Tressan, sur le comte d’Ayen, aujourd’hui duc de Noailles. (M.) / Vous peindre, beau comte d'Enghien
F.Fr.12675, p.208 - F.Fr.15136, p.287 - F.Fr.15137, p.208 - Arsenal 2934, p.232 - Arsenal 3136, f°198r - BHVP, MS 542, p.317 - BHVP, MS 658, p.159 - Mazarine Castries 3986, p.184