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Sans titre

Pour oser ainsi paraître
À l’Opéra comme auteur,
Vous auriez, monsieur le maître,
Grand besoin d’un correcteur1 .

  • 117 janvier a. On a fait sur M. Lourdet de Santerre et son opéra, la plaisanterie suivante, ou plutôt on l’a renouvelée d’un ancien rebus. Elle porte sur sa qualité de membre de la chambre des comptes dont il est maître ; il faut savoir que dans cette compagnie il y a un autre ordre qu’on appelle les correcteurs, parce qu’ils corrigent les comptes des comptables (M.).

Numéro
$2489


Année
1782




Références

Mémoires secrets, XX, 32