Contre les médecins
Contre les médecins1
Ami, je ne veux point changer de médecin :
En vain vous me pressez de me servir du vôtre,
Assassin pour assassin,
J’aime autant garder le nôtre ;
Autant mourir de sa main,
Comme de celles d’un autre.
- 1M. Masson a fait imprimer un recueil de poésies badines et galantes, où l’on ne trouve pas sûrement le feu de M. d’Arnaud ; mais où il y a de l’esprit et du naturel.
Numéro
$3823
Année
1757 avril
CLK, avril 1757, t.I, p.141
Références