Sans titre
Ombre du grand duc d’Orléans
Vient sauver ta chère patrie,
Entend sa triste voix qui crie
Prête de tomber dans le néant.
Ton fils en butte à des menées
Se voit ravir les destinées
Où tes travaux t’avaient conduit
Ainsi l’ouvrage d’une année
Par l’ignorance surannée
En un jour se trouve détruit.
Arsenal 2937, f°420r