Sans titre
Contre le coupable de la Cadière,
par le vieux [sic]
Barbare cruel qui tiens aucune loi
Ne connais honneur, raison, ni pitié, ni foi,
Tu es l’horreur du ciel et du siècle où nous sommes,
Tu brises les autels et dévores les hommes
Ô vilain que tu es, par ta pudicité.
Tu n’as pas pu te sauver de ta brutalité.
Le grand Belzébuth est donc ici ton maître.
Va-t-en donc vite sauter par la fenêtre.
Tu n’as pas de retraite dans tout l’univers.
Sauve-toi vite dans le plus [pro]fond des enfers.
Turin, p.125-26