Epitaphe de la Constitution
Épitaphe de la Constitution
Enfin elle a donc rendu l’âme,
Cette fière et puissante dame,
Destin qu’on ne peut éviter.
Le plus grand mal pour la pauvre gisante,
C’est que la grâce suffisante
Ne suffit pas pour la ressusciter.
Maurepas, F.Fr.12627, p.415 - F.Fr.13655, p.141 - Arsenal 2975/2, p.95