Contre M. Fréron
Unpauvre auteur payait Fréron
Pour échapper à sa satire.
– Je veux, dit maître Aliboron,
Faire plus. Je veux qu’on t’admire.
– Oh ! dit l’autre, ceci, beau sire,
Passe ta force et mon espoir…
– Passe ma force ! Tu vas voir
Ce que peut l’emploi dont j’hérite.
Mon devancier m’a fait valoir
A moins de frais et de mérite.
Piron, OC, t.IX, p.202