Cantique spirituel sur la Constitution
Cantique spirituel sur la Constitution
À quelles tristes alarmes
Nous voyons-nous exposés !
L’on n’entend de tous côtés
Que gémissements, que larmes.
Quoi ! la Constitution
Cause encore tant de vacarmes ?
Quoi, la Constitution
Met tout en combustion ?
Ô vous que l’on veut surprendre
Par un langage flatteur,
Gardez-vous de l’imposteur
Et des pièges qu’il veut tendre.
Écoutez la vérité,
Ce cantique va l’apprendre ;
Écoutez la vérité
Dites avec simplicité.
La grâce de Dieu dans l’âme
Est une inspiration
D’un amour plein d’onction
Qui l’attire et qui l’enflamme.
Esprit Saint, par vos douceurs
Embrasez-nous de vos flammes.
Esprit Saint par vos douceurs,
Daignez guérir nos langueurs.
Mais en Dieu est la puissance1 ,
La grâce et la volonté
Dont l’effet n’est arrêté
Par aucune résistance.
Seigneur, si vous le voulez,
Vous donnez l’obéissance ;
Seigneur, si vous le voulez,
Tout en nous vous opérez.
Sans grâce on ne peut rien faire2 ,
Sans grâce au mal attaché,
Notre cœur n’est que péché.
Partout elle est nécessaire
Pour commencer l’action,
L’avancer et la parfaire,
Pour commencer l’action
De la grâce il faut le don.
Sans la grâce intérieure3
Rien ne peut l’âme amollir,
Tout ne sert qu’à l’endurcir.
Loin de la rendre meilleure
Menace, exhortation,
Toute grâce extérieure
Menace, exhortation,
On abuse de ces dons.
Sur l’âme elle a tout empire4
En gagnant sa volonté
Sans blesser sa liberté.
Tout bien elle sait produire
Son invincible douceur,
À Dieu le pécheur attire
Son invincible douceur
Rompt la dureté du cœur.
Dieu peut autant par sa grâce5
Sur un cœur qu’il convertit
Que sur un corps qu’il gracie
Par sa parole efficace.
Oui, Seigneur, vous le pouvez.
Tournez vers nous votre face.
Dites, et nous serons sauvés.
Grand Dieu, pour créer le monde6
Vous commandâtes, il se fit.
Ainsi la grâce suffisante
Peut rendre l’âme féconde.
D’un mot vous ressuscitez
Les morts et calmez les ondes
D’un mot vous ressuscitez
Les âmes que vous voulez.
Dans le premier des mystères7
L’accord de la liberté
Avec la grâce est montré
D’une façon singulière.
De Marie le Verbe attend
Pour la prendre pour sa mère,
De Marie le Verbe attend
Le libre consentement.
Mais le consentement même8
Est de la grâce l’effet,
Que Dieu par un saint attrait
Produit dans l’âme qu’il aime.
Dieu dans l’homme opère tout,
L’homme opère tout lui-même.
Dieu dans l’homme opère tout.
Seigneur, la gloire est à vous.
Grâce suffisante
Quoiqu’on résiste à la grâce
Et qu’un bon mais faible amour
Ne l’emporte pas toujours
Sur un cœur dur et de glace,
Elle a pourtant un effet,
On la peut dire efficace.
Elle a pourtant un effet
Que Dieu vient par son décret.
Quand des entraves du Diable9
Dieu veut une âme arracher,
Rien ne saurait l’empêcher ;
Son décret est immuable.
En tout temps comme en tout lieu
Un effet indubitable
En tout temps comme en tout lieu
Suit le sûr pouvoir d’un Dieu.
Doux Jésus, pour satisfaire10
À votre père en courroux
Vous souffrez la mort pour tous.
Mais son fruit si salutaire
À tous n’est pas appliqué.
Il dépend de vos prières ;
À tous n’est pas appliqué
Seul vous le communiquez.
Oh ! qu’il faut de confiance11 ,
Qu’il faut de détachement,
Pour dire en s’appropriant
Jésus et son alliance :
Il m’a, mon Jésus, aimé.
Paul l’a dit, plein d’espérance.
Il m’a, mon Jésus, aimé,
C’est pour moi qu’il s’est livré.
Hors l’Église point de grâce12 ,
De vie et de guérison ;
Hors d’elle point de pardon
Quelque chose que l’on fasse.
Le pardon pour le pécheur
À qui Dieu montre sa face,
Le pardon pour le pécheur
Est la première faveur.
L’homme en état d’innocence13
A la grâce avait un droit,
Il la possédait en soi.
Mais depuis sa décadence
Il n’a que par Jésus-Christ
Et de grâce et d’espérance ;
Il n’a que par Jésus-Christ
La grâce qui convertit.
Sous un Dieu juste, équitable14
Et miséricordieux
Personne n’est malheureux
À moins qu’il ne soit coupable.
Dans un état innocent
Il n’est point de misérable,
Dans un état innocent
Il n’est point de châtiment.
L’effet premier du baptême15
Est de mourir au péché
Et d’être bien détaché
Du monde comm’un mort même.
Dans la gloire ou le mépris
Qu’on me haïsse ou qu’on m’aime,
Dans la gloire ou le mépris
Je conserve un même esprit.
Que grande est la différence16
De l’une et de l’autre loi !
L’ancienne est pleine d’effroi
Laissée à son impuissance.
L’amour animant la foi
Dans la nouvelle alliance,
L’amour animant la foi
Nous fait accomplir la loi.
Si de la loi naturelle17
L’on n’est jamais dispensé,
L’on peut par nécessité
Se dispenser d’une règle
Qui n’est faite que pour soi
Et qui n’est pas éternelle ;
Qui n’est faite que pour soi.
Du Sabbat telle est la loi.
Deux amours sont l’origine18
De toutes nos actions.
L’amour-propre, dit Léon,
De tout mal est la racine.
Amour saint, sacré lien,
Charité, flamme divine ;
Amour saint, sacré lien
Seul en nous tu fais le bien.
L’amour seul arrive au trône19
Du Seigneur Saint par trois fois,
Il n’exauce que sa voix
C’est lui que sa main couronne.
Seul il honore le roi
Dont la grandeur nous étonne,
Seul il honore le roi,
Seul il observe sa loi.
Non, je ne puis plus m’en taire20
L’on attaque dans le cœur
Votre époux, notre sauveur
Quoi ! Dieu qu’on peut vous plaire,
Sans Jésus, sans charité,
Sans la foi qui seule éclaire,
Sans Jésus, sans charité,
Quelle horrible impiété.
Oui, sans foi, que de chimères,
Sans Jésus, sans charité
Tout n’est que cupidité
Et que ténèbres grossières.
Esprit Saint, emplis nos vœux
Répands sur nous tes lumières,
Esprit Saint, emplis nos vœux,
Embrase-nous de tes feux.
Dieu, quelle étrange entreprise21 !
L’on renverse insolemment
Votre grand commandement.
Souffrez-vous que l’on dise
Que sans jamais vous aimer
La crainte seule suffise,
Que sans jamais vous aimer
L’on vous force à pardonner.
L’esclave en la loi de crainte,
Vous dit-on devrait aimer,
Et l ‘on prétend dispenser
L’enfant dans cette loi sainte
D’aimer un père si bon.
Que la raison est éteinte !
D’aimer un père si bon,
Quelle étrange illusion !
La crainte n’est pas capable22
De changer le cœur humain ;
Elle arrête bien la main,
Mais le cœur reste coupable.
L’amour seul peut convertir
Et rendre Dieu favorable.
L’amour seul peut convertir
Par un tendre repentir.
La seule crainte servile23
Ne montre dans le Seigneur
Qu’un maître plein de rigueur
Et d’un accès difficile.
Elle mène au désespoir
Un judas, une âme vile
Elle mène au désespoir
Sans donner le bon vouloir.
Seigneur, je ne puis rien faire
Sans grâce, sans votre amour.
Vous n’accordez ce secours
Qu’à la foi, qu’à la prière.
Faites-moi toujours prier
Par un don si salutaire.
Faites-moi toujours prier
Sans jamais vous oublier.
Quiconque, ô Dieu des Lumières24 ,
Invoque votre bonté
Avec foi, sera sauvé.
O charité salutaire !
Vous enfermez tout moyen
Dans la foi, dans la prière,
Vous enfermez tout moyen
Du salut en ce seul bien.
Pécheur, si dans ta prière25
Tu désires être exaucé,
À ton Dieu tout courroucé
Hâte-toi de satisfaire.
Quant à ton vice attaché,
Tu persistes à t’y plaire,
Quant à ton vice attaché
Tu pries, c’est même un péché.
De l’Église font la gloire26
Les justes de tous les temps,
Qui comme membres vivants
Seuls ont part à la victoire.
Les méchants lui sont unis,
Qui refuse de le croire ?
Les méchants lui sont unis
Mais comme membres pourris.
Par ton crime, race d’Êve27 ,
Tu te retranches en esprit
Du corps mystique de Christ
Comme un tronc mort de sa vie.
De Dieu tu n’es plus enfant
Contre lui quand tu t’élèves,
De Dieu tu n’es plus enfant
Au moins intérieurement.
Vous êtes, Sainte Écriture28
Des faibles enfants le lait
Et de tout chrétien parfait
La solide nourriture.
C’est donc du lait les priver
D’empêcher votre lecture,
C’est donc du lait les priver
Et le pain leur enlever.
Grand Dieu, jugez cette affaire29 :
À moi qui suis votre fils,
De lire il n’est pas permis
Le testament de son Père.
Pourquoi défendre à l’enfant
Ce que l’esclave a pu faire ?
Pourquoi défendre à l’enfant
De lire son testament ?
La coutume apostolique30
Au peuple donne le droit
En chantant d’unir sa voix
À l’Église en ses cantiques.
Lui défendre de s’unir
Dans les prières publiques,
Lui défendre de s’unir,
C’est l’affliger, le punir.
Éloignez un grand coupable31
De l’autel de sainteté,
C’est sagesse et charité.
Qu’y trouve-t-on de blâmable ?
De changer il a promis,
Mais sa promesse est peu stable,
De changer il a promis.
Pour son bien qu’il soit remis.
Ô maximes infernales
Qui permettent d’approcher
D’un Dieu saint sans s’arracher
À ses passions brutales.
Sans amour et sans la foi
Quoique vertus capitales,
Sans amour et sans la foi
Qui peut louer sans effroi ?
C’est faire grâce aux coupables32
De les souffrir assister
Avant de longtemps pleurer
Au sacrifice adorable.
L’ancienne sévérité
Les en jugeait incapables,
L’ancienne sévérité
Justement les a traités.
L’Église est dépositaire33
De l’ancienne vérité,
Même de l’autorité.
Donc l’effrayant ministère
Doit par les premiers pasteurs
En consultant cette mère
Doit par les premiers pasteurs
S’exercer avec douceur.
Crainte d’une injuste foudre34
Manquerai-je à mon devoir ?
De Dieu craignant le pouvoir
Il saura bien nous absoudre.
Contre son autorité
L’homme ne peut rien oser,
Contre son autorité
Que peut la malignité ?
On pense bien plus à plaire
En prêchant qu’à convertir.
De l’Église on doit sentir
La vieillesse qui l’altère.
Un prophète l’a prédit,
En une langue étrangère ;
Un prophète l’a prédit
Qu’on prêcherait sans fruit.
Exiger à l’aventure35
Pour des choses de néant
Les plus terribles serments,
C’est faire bien des parjures.
Comment jurer au hasard
Sur Dieu, sur les Écritures ?
Comment jurer au hasard ?
C’est le secret d’Escobar.
Voilà les leçons sublimes
De Prosper, de Célestin,
De Fulgence, d’Augustin,
En ces points tous unanimes.
Dans la bouche de Quesnel
Deviennent-elles des crimes ?
Dans la bouche de Quesnel
Sera-ce un poison mortel ?
Non, non, la vérité sainte
Est toujours la vérité.
Ce qu’elle a jadis dicté
Porte encore son empreinte ;
Et jamais l’âge futur
Ne peut y donner d’atteinte ;
Et jamais l’âge futur
Ne peut la rendre moins sûre.
C’est pourquoi du Très Saint-Père
Laissant la décision
Et sa Constitution,
J’endure en paix sa colère.
Le concile est plus que lui,
Qu’il décide, j’y défère.
Le concile est plus que lui
Mon inébranlable appui.
Objection
Obéissez à l’Église,
Nous dit-on, elle a parlé ;
Le pontife a décidé.
Ne craignez point la surprise,
Les prélats ont accepté.
Soumettez-vous sans remise
Les prélats ont accepté,
Montrez votre humilité.
Réponse
Je n’aperçois point l’Église
Dans ce nombre d’acceptants,
Tous d’avis si différents,
Où chacun trompe et déguise.
Une mère à son enfant
Crainte qu’on ne le séduise,
Une mère à son enfant
Parle plus distinctement.
Si le seul nombre est la base
De notre acquiescement,
Il faut proscrire hautement
La foi d’un saint Athanase ;
L’épiscopat réuni
Joint à Libère l’écrase,
L’épiscopat réuni
Le condamne à Rimini.
Le seul Sophrone s’oppose
Aux évêques d’Orient,
Le Pape les appuyant
À tout l’univers impose ;
Le concile général
Hérétique le suppose
Le concile général
Le frappe d’un coup fatal.
La Bulle doit sa naissance
Comme les vieilles erreurs
À la brigue, à la faveur,
À l’aveugle obéissance.
Il faut l’unanimité
Pour former notre croyance,
Il faut l’unanimité,
D’examen la liberté.
C’est ce qui manque à la Bulle
Comme au décret d’Honoré ;
Ce défaut a ruiné
De Rimini la formule.
Là, point d’unanimité,
Comme ici l’on n’en voit nulle ;
Là, point d’unanimité,
D’examen de liberté.
On lui donne un sens à Rome
Et mille autres à Paris,
Les prélats sont désunis,
De discorde c’est la pomme.
Elle est la tour de Babel
Où se confond l’idiome ;
Elle est la tour de Babel
Où se perd l’homme mortel.
Par quel nouveau privilège
Le Pape a-t-il décidé
Sans avoir examiné
Avec le Sacré Collège ?
Partout l’inquisition,
Vous en savez le manège,
Partout l’inquisition
Reçoit sans discussion.
La France admet de la Bulle
La lettre et proscrit le fonds
Par tant d’explications
Contraires et ridicules.
Des puissants l’autorité
Empêche qu’on ne recule ;
Des puissants l’autorité
Ote toute liberté.
De la Bulle on fait trafic :
Si soumis vous acceptez,
Pour vous sont les dignités,
Ou privilège authentique.
Pour moi qui n’espère rien,
Je dis la Bulle hérétique ;
Pour moi qui n’espère rien,
La croix seule est tout mon bien.
C’est donc l’ombre de l’Église
Et non la réalité
Qu’on semble avoir accepté.
Dangereuse est la méprise.
Par ce fantôme Satan
Aveugle l’âme surprise,
Par ce fantôme Satan
Trompe tout, petit et grand.
Ô le piège trop nuisible !
Ô prodige séduisant !
Prédit pour ces derniers temps
Par un jugement terrible ;
Ceux que Dieu même a choisis
Et si la chose était possible ?
Ceux qui Dieu même a choisis
En erreur seraient induits.
Loin l’obéissance aveugle,
On ne la doit qu’à Dieu seul ;
On ne peut sans grand orgueil
Lui refuser sa croyance.
Mais il faut être assuré
Pour croire sans défiance ;
Mais il faut être assuré
Que Dieu lui-même a parlé.
C’est à l’Église à le dire,
Mais pour entendre sa voix
Il faut connaître les lois
Qu’elle a coutume de suivre.
Montrez l’unanimité,
Je cède sans contredire ;
Montrez l’unanimité,
L’examen, la liberté.
Accommodement
Loin surtout cette cabale
Où la brigue et le crédit,
Où l’amour du siècle ont dit
Une paix vaine, fatale.
La foi de l’Église de Christ
Est simple et toujours égale ;
La foi de l’Église de Christ,
Jamais fraude ne souscrit.
Ô paix fausse et chimérique !
Par elle tout à la fois
Je proscris et je reçois
La doctrine catholique.
Dans cet accommodement
Quelle absurde politique ;
Dans cet accommodement
Quel affreux déguisement !
Monitoire lancé à Reims
À l’occasion du Cantique
Lancer contre un saint Cantique
Le trait le plus foudroyant,
D’un pouvoir si saint, si grand,
Ô usage fanatique !
N’est-ce pas déshonorer
La censure apostolique ?
N’est-ce pas déshonorer
L’Église et y dominer ?
Pour une injuste censure36
Trahirai-je un innocent
Qui m’enseigne simplement
La vérité la plus pure ?
Si vous déchargez vos coups,
je ne crains point la blessure ;
Si vous déchargez vos coups,
Ils retomberont sur vous.
Mais pourquoi tant de colère37
Contre ce pieux maçon ?
Il craint Dieu, c’est la raison
Qui l’implique en cette affaire.
L’on poursuivrait Jésus-Christ
S’il revenait sur la terre ;
L’on poursuivrait Jésus-Christ
Par la Bulle Unigenit.
Prière
Aidez-moi de vos lumières,
Éternelle vérité,
C’est vous que l’impiété
Attaque en tant de manières.
Votre mort, ô doux Jésus,
Se retrace toute entière ;
Votre mort, ô doux Jésus
Se retrace en vos élus.
Cuza dans la conjecture
L’a prédit bien clairement,
Que vous devez en ce temps,
Jésus, mourir : il assure
Que tout apôtre fuira,
Nous en voyons l’aventure ;
Que tout apôtre fuira,
Que Pierre vous trahira.
Partout ce n’est que menaces
D’excommunication,
Ou d’exil ou de prison.
Aidez-moi de votre grâce.
Vous fûtes ainsi traité,
Jésus, je prends votre place ;
Vous fûtes ainsi traité
Et des prêtres rejeté.
À la chaire de Saint-Pierre
Je me tiens toujours uni ;
Et de nulle erreur flétri
Je chante d’un cœur sincère :
Je suis de l’Église enfant,
Je crois ce qu’elle fait croire ;
Je suis de l’Église enfant
Jusqu’à répandre mon sang.
Ainsi soit-il
Fin du cantique
- 1Grâce incréée - 10. 11. 13. 15. 16. 19. 20. 21 [Note marginale, ce qui vaut pour toutes les suivantes.]
- 2Nécessité de la grâce -1. 2. 3. 4. 38. 39. 40. 41. 42. 49.
- 3 Grâce extérieure – 5. 41.
- 4Grâce efficace – 9. 10. 11. 13. 14. 15. 16.
- 520. 24. 25.
- 621. 23.
- 7Accord de la liberté avec la grâce – 22.
- 869.
- 9Certitude de la prédestination – 12, 13, 30.
- 10Mort de J.-C. 31, 39.
- 11Parfaite confiance – 33.
- 12Hors de l’Église, point de grâce, de salut – 29.
- 13Grâce d’Adam – 34. 35. 36. 37.
- 14Point d’état de pure nature – 40.
- 15Effet du baptême – 43.
- 16Les deux alliances – 6. 7. 8. 63. 64. 65.
- 17Dispense de la loi positive – 41.
- 18La foi est la première grâce ; elle n’opère que par la charité – 26. 27. 51. 52. 53. 54.
- 19Nécessité est attendue de l’amour de Dieu – 50. 54. 55. 56. 58.
- 2048.
- 21Crainte servile – 66.
- 22 61. 62.
- 23 67. 60.
- 2468.
- 25Prière de l’impie – 59.
- 26Église – 72. 73. 74. 75. 76.
- 2777. 78.
- 28Lecture de Sainte Écriture – 79. 80. 81. 82. 83
- 2984. 85.
- 3086.
- 31Délai de l’absolution – 87. 88.
- 3289.
- 33 Pouvoir des clés – 90.
- 34Excommunication injuste – 91. 92.
- 35Serments – 101.
- 3693.
- 3796. 97. 98. 99. 100.
BHVP, MS 599, 14v et suiv.