Épigraphe au sujet de l’épitaphe du Parlement
Épigraphe au sujet de l’épitaphe du Parlement
Pourquoi donc faire l’épitaphe
De celui qui ne peut mourir ?
Faisons plutôt une épigraphe
À celui qui peut revenir :
Son zèle et son amour pour maintenir la loi
Souvent l’ont fait tomber sous les coups de son Roi ;
Mais toujours innocent au fort de la tempête,
Il n’a pas craint d’offrir et ses biens et sa tête.
Plusieurs fois par ses coups, ses membres dispersés
Tous par les mêmes mains ont été rassemblés.
Hardy, II, 178