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Épigraphe au sujet de l’épitaphe du Parlement

Épigraphe au sujet de l’épitaphe du Parlement

Pourquoi donc faire l’épitaphe

De celui qui ne peut mourir ?

Faisons plutôt une épigraphe

À celui qui peut revenir :

Son zèle et son amour pour maintenir la loi

Souvent l’ont fait tomber sous les coups de son Roi ;

Mais toujours innocent au fort de la tempête,

Il n’a pas craint d’offrir et ses biens et sa tête.

Plusieurs fois par ses coups, ses membres dispersés

Tous par les mêmes mains ont été rassemblés.

Numéro
$5795


Année
1771 mars




Références

Hardy, II, 178