Chanson
Ton art divin1
,
Puissant maître de l’harmonie,
Ton art divin
En miracles s’épuise en vain ;
Plus tu triomphes, plus l’envie
Montre de fureur et décrie
Ton art divin.
De tous les temps,
Ce fut aventure pareille,
De tous les temps ;
Laisse dire aux méchants :
Reine du cœur et de l’oreille,
Ta lyre fera merveille
De tous les temps.
- 128 décembre. M. Saurin, peu gai de son naturel, s’est déridé le front en faveur du chevalier Gluck, ou plutôt celui-ci l’ayant séduit par son Armide, il lui a adressé les couplets suivants (M.).
Mémoires secrets, X, 322-23