Sans titre
Parbleu, Monsieur de Paris1
,
Laissez-là notre saint Pâris.
Vous pouvez sans qu’on s’en offense.
Torcher vos plats, vider vos pots,
Laissez-nous par reconnaissance
Honorer nos saints en repos.
F.Fr.15132, p.347 - Arsenal 2931, f°182r - Arsenal 2975, p.148-49 - Arsenal 3116, f°108v - HVP, MS 658, p.200 - Mazarine Castries 3985, p.32
Sans titre
Vintimille attentivement
Examinant sa conscience
Dit en pleurant amèrement
Et d’un ton plein de repentance :
D’agir si vivement j’ai tort
Dira-je mon confiteor ?
Pur et respectable Pâris
Qu’avec raison chacun révère,
De grâce, oubliez le mépris
Que de vos cendres j’ai su faire
Je n’agissais que par ressorts,
Dirai-je mon Confiteor ?
Et vous, triomphants avocats,
Que la gloire et le zèle anime,
De grâce ne vous vengez pas.
Clairambault, F.Fr.12704, p.49-50 - Maurepas, F.Fr.12633, p.44 - F.Fr.10476, f°346 - F.Fr.13651, p.46-48 - F.Fr.15133, p. 37-40 - F.Fr.15146, p.281-84 - Arsenal 2931, f°178v-180r - Arsenal 2962, p.571-73 - Arsenal 2975, p.173-74 - Arsenal 3116, f°108r-108v - BHVP, MS 653, p.355-57 - HVP, MS 658, p.196-98 - Mazarine, MS 2164, p.344-46 - Mazarine Castries 3985, p.29-31 - BHVP, MS 542, f°138-42
Sur trois filles d'opéra et plusieurs poètes qui firent une débauche au magasin
Sur trois filles d'opéra et plusieurs poètes
qui firent une débauche au magasin
Arsenal 2931, f°177r-178r - Arsenal 3116, f°107v - HVP, MS 658, p.217-18 - Mazarine Castries 3986, p.102-03
On trouve plusieurs récits de qu’il fut convenu d’appeler le scandale du magasin de Saint-Nicaise. On peut distinguer au moins deux modes narratifs et musicaux. L’un, fondé sur un timbre unique : soit Petite fronde ($3708), soit les Pendus ($3763) L’autre, fonctionnant en mode pot-pourri sur 29 timbres ($3629) ou 40 ($3965). Les quatre leçons proposent toutes un texte différent. En outre la version $3629 révèle de très profondes divergences entre Arsenal 2932 et Arsenal 3116, notamment pour ce qui est des timbres sur lesquels doivent se chanter les couplets.
Sans titre
Je sens un plaisir séducteur.
Cher ange, c’est toi que j’invoque,
Je brûle jusqu’au fond de mon cœur
Je sens.
Pousse, enfonce le trait vainqueur,
N’épargne point ton À la Coque,
Je sens,
Cher ange c’est lui que j’invoque.
F.Fr.9352, f°275v - F.Fr.10476, f°68r - F.Fr.15132, p.296 - F.Fr.15144, p.494 - Arsenal 2931, f°175r - Arsenal 3116, f°104v-105r - BHVP, MS 658, p.263 - Mazarine, MS 2164, p.338 - Mazarine MS 2166, p.298 - BHVP, MS 542, f°82
Autre version en 6077
Sans titre
Monseigneur de Soissons se moque
Assurément
Avec sa Marie à la Coque.
Il nous en vend.
Les propos de son angélique
Parlant à Dieu
Sont ceux d’une femme publique
En mauvais lieu.
Clairambault, F.Fr.561 - Maurepas, F.Fr.12632, p.57 - F.Fr.9532, f°271-273 -F.Fr.10286 (Barbier), f°151 - F.Fr.10476, f°66v - F.Fr.15019, f°189v - F.Fr.15132, p.295 - F.Fr.15144, p.484 - Arsenal 2931, f°174v - Arsenal 3116, f°104v - BHVP, MS 658, p.195 - Mazarine, MS 2164, p.337 - Mazarine Castries 3985, p.380 - Barbier, II,100
Epitaphe de Charles VI
Épitaphe de l'empereur Charles VI
Clairambault, F.Fr.12710, p.23 - Maurepas, F.Fr.12646, p.10-11F.Fr.15140, p.271 - Arsenal 3133, p.433 (ne retient que le premier et le dernier vers) - Arsenal 3128, f°129v et 130r - BHVP, MS 665, f°24r - Mazarine 2356, f°4v - Gastelier, IV,1, p.647