Vers d’un soi-disant jésuite adressés au roi
Vers d’un soi-disant jésuite adressés au roi
L’arrêt qui m’affranchit du vœu de pauvreté,
Sire, me livre en proie à l’indigence extrême
Journal encyclopédique, décembre 1763, t.VIII, Part.II, p.121-22
D.M.J, à Rennes, le 2 juillet 1762
sans titre
Epigramme par M. Saurin
Une Iris d’Opéra, se disant presque neuve,
Avec un sous-fermier venait de passer bail.
CLG [éd. Kölving], V,270 (1762-1764)
Sans titre
Sans titre
Au salon ton art vainqueur1
Devrait être en lumière.
Pour te ravir cet honneur,
Lise, il faut avoir le cœur
De Pierre, de Pierre, de Pierre
.
- 1 Mme Vigée-Lebrun, déjà portraitiste en vogue, veut entrer à l’Académie de Peinture, mais se heurte à l’hostilité de M. Pierre « peintre fort médiocre, car il ne voyait dans la peinture que le maniement de la brosse ». Heureusement ses amis « avaient formé en sa faveur une cabale contre celle de M. Pierre. C’est alors qu’on fit ce couplet » (I,77). Elle sera donc reçue avec l’appui de la cour (M.)
Vigée-Lebrun, Souvenirs, t.I, p.77
sans titre
La reine dit imprudemment
Mémoires du baron de Besenval, t.I, p.310.
Epigramme contre le Châtelet
Epigramme contre le Châtelet
O vous qui lavez Broglie, Augeard,
Qui lavez Besenval, qui laveriez la peste,
Correspondance secrète, t.II, p.441