Sans titre
Que Bernage est malheureux,
Pour ses feux,
Pour ses fêtes, pour ses jeux !
Il essuie, et l’on le gronde,
Tous les con, tous les con,
Tous les contretemps du monde.
Moi, je dis qu’il est heureux
Et joyeux
D’avoir en différents lieux
Réjoui par sa dépense
Tous les vi, tous les vi,
Tous les vivandiers de France.
Mazarine Castries 3989, p.343