sans titre
Ne craignez pas, cher papa1 ,
D’voir augmenter vot’famille
Le bon Dieu z’y pourvoira
Fait’s-en tant qu’Versailles en fourmille ;
Y eût-il cent Bourbons cheu nous,
Y a du pain, du laurier pour tous.
- 1Naissance du Dauphin en 1781. « Les chansons des poissardes furent nombreuses et quelques-unes assez bien faites. Le roi et la reine furent très satisfaits du couplet suivant et le chantèrent plusieurs fois pendant le temps des couches. » (Madame Campan)
Madame Campan, Mémoires sur la vie privée de Marie-Antoinette, p.168