sans titre
Misérable auteur japonais1 ,
Que Vincennes t’immortalise !
Et cependant, si tu m’en crois,
Vincennes fut une méprise.
On eût avec plus de raison
Chez les fous placé ta prison.
Tu les aurais du moins fait rire ;
Mais pour nous, fade polisson,
Ton vertige n’est qu’un délire.
- 1Contre Crébillon, auteur de Tanzaï. La chanson a tort ; le roman est bien écrit et plaît à tous eux qui ont du goût (M.).
Mazarine Castries 3986, p. 260