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sans titre

Que la Sallé1 par les plus nobles pas

Se fasse admirer du parterre

Qu’on la désire enAngleterre

Cela ne me surprend pas.

 

Mais que pendant qu’elle nous abandonne

Elle aille chez un calotin

Danser au milieu du festin

Comme la charmante Catin

C’est là ce qui m’étonne.

  • 1 Le rôle que Mlle Sallé a rempli à la fête du mariage de Madame Molé, petite-fille de Samuel Bernard, au milieu du Fer à cheval où l’on soupa, a donné lieu à ce couplet (M.).

Numéro
$5483


Année
1733 (Castries)




Références

Mazarine Castries 3985, p.421 - Journal de la Cour et de Paris, p.170