Sans titre
Cher Mallet, ta prose et tes vers
Ainsi que tes yeux sont tout de travers.
Mais l'heure sonne,
Tu frissonnes.
Pourquoi t'effrayer ?
Ton papa viendra t'étayer.
Cher Mallet ta prose et tes vers
Ainsi que tes yeux sont tout de travers.
Mazarine Castries Ms 3982, p. 77, p. 111