Sans titre
Avec douleur j’apprends la mort
De la vieille duchesse1 .
J’ai su ses maux, je plains son sort,
J’en ai l’âme en tristesse.
Elle a tant parlé de son cu
D’une façon bouffonne
Qu’aujourd’hui ce laid malotru
Se venge en sa personne.
- 1Sur la mort de Madame la Duchesse douairière. On fait ici allusion aux chansons polissonnes que cette Dame composait volontiers, témoin la fille à Dangeau et mille autres.
Mazarine Castries 3988, p.6572