Morale des jésuites sur la fréquente communion
Morale des jésuites sur la fréquente communion
Pour la céleste patrie
Tes sentiers sont toujours droits ;
En vain Arnauld les décrie
N’y voyant jamais de croix.
La femme qui se déborde,
L’homme de sac et de corde,
Par ton art sont bons chrétiens,
Et sans cesse tu boulanges
L’adorable pain des anges
Pour les hommes et les chiens.
F.Fr.12800, p.267 - Arsenal 2976, p.191