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Sans titre

O Perruque, ma mie1 ,

N’as-tu donc tant reçu que pour cette infamie2  ?

  • 1On a trouvé ces deux fragments de vers, écrits à la porte de l’hôtel de cet ex-ministre (M. de Sartine).
  • 2 Il faut que vous sachiez que M. de Sartine avait un faible incroyable pour les belles perruques bien frisées, bien poudrées… (Kageneck)

Numéro
$6197


Année
1780




Références

Kageneck, p.206